Le jardin de presque huit hectares où vous pourrez vous balader. Vous y découvrirez entre les parcs des poneys deux mares : une où vous pourrez peut-être apercevoir grenouilles, tritons ou salamandres, l’autre un peu plus grande, où vous pourrez taquiner le gardon sous un châtaignier qui aurait plus de 300 ans…
Je pourrais aussi vous parler des trois petits bois où vous profiterez d’une fraicheur propice à la flânerie… Vous pourrez- peut-être cueillir au potager quelques haricots verts plus bios que bio, que je vous cuisinerai et que vous pourrez déguster le soir même…
Je ne vous ai pas encore parlé de nos « avettes » (l’avette est le nom « savant » d’une abeille à miel domestique originaire d’Europe. Elle est considérée comme semi-domestique. C’est une des abeilles élevées pour produire du miel.)
Je voulais vous parler de nos abeilles, celles qui nous offrent ce nectar merveilleux aux bienfaits sans fin, et aux goûts aussi divers que les fleurs butinées. Dès la retraite, nous avons décidé, Patricia et moi, d’avoir quelques ruches. Elle, parce que son enfance a été bercée par les ruches de son grand-père, et moi plus modestement pour participer utilement à la préservation de nos abeilles qui sont malmenées, pour ne pas dire décimées, surtout par les pesticides mais aussi par les frelons asiatiques et par un très vilain acarien nommé le varroa.
Une formation étalée sur un an, et nous voilà à la tête de quelques ruches, nos récoltes sont loin d’être à la hauteur de nos ambitions, mais suffisantes pour vous en faire profiter au petit déjeuner et parfois dans certains plats…